La vie n’est qu’un jeu.
C’est une ritournelle, qu’en moi, j’alimente.
Il arrive que pour me rassurer c’est que je me dise, d’autres fois pour me soulager c’est ce que j’imagine, et des fois pour me justifier c’est ce que j’argumente.
La vie n’est qu’un jeu, ça veut dire quoi ?
Que, j’ai tendance à souvent dédramatiser le superficiel.
En effet, que ce soit dans la vie intime et personnelle, où dans le milieu professionnel, mes (dis)semblables ont (d’après moi) souvent tendance à trop et tout prendre au sérieux.
Rien (où peu de choses) ne sont graves. La maladie c’est grave, la mort c’est grave, une séparation peut être grave (dans son vécu).
Mais dès lors nous entrons dans le financier à proprement parler, je décroche complètement, et le bouton play se met en marche. La télé crame ? sortez un livre ! Vous passez un sale quart d’heure ou bureau ? Dites-vous que vous avez un job, pensez à vos futures vacances. Un rdv arrive en retard ? Saluez-le.
Prenez du recul ! La vie n’est qu’un jeu, et nous en sommes les acteurs.
Au travail en premier lieu : qui peut me regarder droit dans les yeux, et me dire qu’il est heureux et content de passer sa journée sur une chaise à faire des choses inutiles (je ne parle pas des quelques métiers utiles comme médecin, éboueur, plombier, cuisinier qui existent, mais sont mal payés et mal considérés…), passer des heures dans des transports de bétail ? Est-ce que si le choix-vous était donné, vous ne préféreriez pas vaquer à d’autres occupations ? Est-ce que votre travail est votre passion ? Peu de monde j’imagine, et surtout (de mon point de vue), ne répondra par l’affirmative, ce qui signifierait aucune passion à côté, et je trouve ça triste (mais après tout, il faut de tout pour faire un monde, et peut-être faites-vous parti de ces rares chanceux pouvant vivre de leur passion).
Il arrive que pour me rassurer c’est que je me dise, d’autres fois pour me soulager c’est ce que j’imagine, et des fois pour me justifier c’est ce que j’argumente.
La vie n’est qu’un jeu, ça veut dire quoi ?
Que, j’ai tendance à souvent dédramatiser le superficiel.
En effet, que ce soit dans la vie intime et personnelle, où dans le milieu professionnel, mes (dis)semblables ont (d’après moi) souvent tendance à trop et tout prendre au sérieux.
Rien (où peu de choses) ne sont graves. La maladie c’est grave, la mort c’est grave, une séparation peut être grave (dans son vécu).
Mais dès lors nous entrons dans le financier à proprement parler, je décroche complètement, et le bouton play se met en marche. La télé crame ? sortez un livre ! Vous passez un sale quart d’heure ou bureau ? Dites-vous que vous avez un job, pensez à vos futures vacances. Un rdv arrive en retard ? Saluez-le.
Prenez du recul ! La vie n’est qu’un jeu, et nous en sommes les acteurs.
Au travail en premier lieu : qui peut me regarder droit dans les yeux, et me dire qu’il est heureux et content de passer sa journée sur une chaise à faire des choses inutiles (je ne parle pas des quelques métiers utiles comme médecin, éboueur, plombier, cuisinier qui existent, mais sont mal payés et mal considérés…), passer des heures dans des transports de bétail ? Est-ce que si le choix-vous était donné, vous ne préféreriez pas vaquer à d’autres occupations ? Est-ce que votre travail est votre passion ? Peu de monde j’imagine, et surtout (de mon point de vue), ne répondra par l’affirmative, ce qui signifierait aucune passion à côté, et je trouve ça triste (mais après tout, il faut de tout pour faire un monde, et peut-être faites-vous parti de ces rares chanceux pouvant vivre de leur passion).
Personnellement, je travaille pour manger, me loger, et pouvoir vivre de façon décente dans notre pays. Car un autre problème : vivre de rien est possible dans certains pays, chez nous cela signifie vivre dans un environnement pas forcement des plus agréable. Et de suite le jeu devient moins sympa.
La vie n’est qu’un jeu, c’est aussi inspiré par une étude récente, dont vous avez peut-être entendu parler. Si vous aviez les zoreilles ouvertes. L’invasion des « métiers à la con », ça vous parle ? Il s’agit d’une étude menée par un anthropologue anglais, David Graeber, que je trouve assez juste (même si il faut la relativiser et qu’elle reste un peu extrême). Mais ce qu’il dit est intéressant, car d’après lui, la majorité d’entre nous ne travaille que pour nous occuper, car sinon nous nous ennuierions. Boulots à la con, ce sont les jobs dont vous pourrez difficilement expliquer le nom, le fonctionnement, et surtout l’utilité : ne vous êtes-vous jamais senti inutile au travail ? Ne vous êtes-vous jamais dit que n’importe qui pourrait le faire, que si vous n’étiez pas là, et votre entreprise aussi d’ailleurs la terre ne cesserait pas de tourner ? Vous préféreriez surement voyager, où rester chez vous à cultiver de quoi vous nourrir, où tout simplement vous nourrir l’esprit ?
La vie n’est qu’un jeu, et finalement l’important, c’est de manger, et avoir un toit. Le reste n’est qu’illusion.
La vie n’est qu’un jeu c’est souvent ce que je me dis, lorsque l’on me demande de faire des choses que je juge inutiles. La vie n’est donc qu’un jeu devant occuper des centaines de mains, qui sans elles saintes entreprises ne seraient vivre ? La vie n’est donc qu’un jeu car en effet on se rend souvent compte de la futilité de nos jobs.
La vie n’est qu’un jeu, ce n’est néanmoins pas si simple que ça, à pouvoir défendre. Qui dans nos sociétés n’est au final pas embrigadé ?
Le travail c’est la santé, et autres inepties rabâchées depuis notre enfance. La vie n’est qu’un jeu, mais des tâches doivent être faites, et même si elle n’ont aucune intérêt, aucune importances, elles doivent être faites, elles doivent être bien faites.
La vie n’est qu’un jeu, politiques et chiens de garde, dans leur arènes constamment en spectacles, le savent si bien, souvent à nos dépends, nous pour qui si la vie est un jeu, nous en sommes malgré tout souvent les perdants.
La vie est un jeu, comme cet article inutile, je pense qu’il disparaîtra lui aussi un jour, éphémère comme nous le sommes, alors comme la vie est un jeu, autant en profiter, à 100% et non sang contre sang.
La vie n’est qu’un jeu, et finalement l’important, c’est de manger, et avoir un toit. Le reste n’est qu’illusion.
La vie n’est qu’un jeu c’est souvent ce que je me dis, lorsque l’on me demande de faire des choses que je juge inutiles. La vie n’est donc qu’un jeu devant occuper des centaines de mains, qui sans elles saintes entreprises ne seraient vivre ? La vie n’est donc qu’un jeu car en effet on se rend souvent compte de la futilité de nos jobs.
La vie n’est qu’un jeu, ce n’est néanmoins pas si simple que ça, à pouvoir défendre. Qui dans nos sociétés n’est au final pas embrigadé ?
Le travail c’est la santé, et autres inepties rabâchées depuis notre enfance. La vie n’est qu’un jeu, mais des tâches doivent être faites, et même si elle n’ont aucune intérêt, aucune importances, elles doivent être faites, elles doivent être bien faites.
La vie n’est qu’un jeu, politiques et chiens de garde, dans leur arènes constamment en spectacles, le savent si bien, souvent à nos dépends, nous pour qui si la vie est un jeu, nous en sommes malgré tout souvent les perdants.
La vie est un jeu, comme cet article inutile, je pense qu’il disparaîtra lui aussi un jour, éphémère comme nous le sommes, alors comme la vie est un jeu, autant en profiter, à 100% et non sang contre sang.
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