Quand les températures s'effondrent
Dans les abysses de mon esprit
C'est l'un de ces jours si glaçant
D'où seuls sortent quelques trolls
Qu'elle apparu si furtivement
Déesse céleste dans mes yeux
Si lumineuse qu'on l'aurait cru
Échappée du bal des débutantes
Elle trouvait difficilement sa place
Fragile comme un bas qui se délite
Chevelure verte ondoyante
Happy happy happy guy
Constellation de 1000 échecs
Tu lèves les bras vers l'horizon
De peur de ne pouvoir l'attraper
Elle doit filer sûrement cette étoile
Furtive muse tentant d'échapper
Aux Roi mages si menaçants
Nœud papillon ou sablier
S'y faufile ainsi Maître Scorpion
Telle une flèche à bout portant
Cette belle mais éphémère folie
A voulu attraper le chasseur
Qui drapeau blanc flottant au vent
S'est vu traverser en volant
Une tempête soudain recouvrit
Ce royaume blanc si glaçant
L’éblouissement de mes pensées
Fendant ainsi sa carapace
Tortue filante et souriante
Réfugiée à l'ombre de ma joie
Maigres instants si suffocants
Puis, sans crier gare tout explosa
Nébuleuse devint mon étoile
Repartant vers une autre constellation
Major Tom l'avait bien bien prédit
Les étoiles sont si différentes
Une fois la colère retombée
Pile poil on pensait être arrivé
Mais elles restent ici à flotter
Des Poèmes sur la vie, sur l'amour, des mots de vie. Faire sortir des maux par des mots, débuter une histoire, des chansons et paroles...
mardi 27 novembre 2018
jeudi 22 novembre 2018
La fin est-elle un commencement ?
J'attends comme un con
Sur le quai de cette histoire
Appréhendant cette faille
Se trouvant à l'horizon
Pour ne pas trop souffrir
Je sais qu'il est si difficile
De clôturer ce dernier chapitre
Je noie donc mon chagrin
Toutes les bonnes choses
Ont une fin dit-on
Mais à l'aube de celle-ci
Je croyais en l'infini
Seulement quand elle se pointe
N'y sommes nous jamais prêt
Il serait ainsi confortable
D'être plutôt à l'arrêt
Sang chaud, main de velours
Doigt posé sur la gâchette
Prêt à lâcher mes bombes
De moi de toi d'incandescence
Pour mieux recommencer ?
Sur le quai de cette histoire
Appréhendant cette faille
Se trouvant à l'horizon
Pour ne pas trop souffrir
Je sais qu'il est si difficile
De clôturer ce dernier chapitre
Je noie donc mon chagrin
Toutes les bonnes choses
Ont une fin dit-on
Mais à l'aube de celle-ci
Je croyais en l'infini
Seulement quand elle se pointe
N'y sommes nous jamais prêt
Il serait ainsi confortable
D'être plutôt à l'arrêt
Sang chaud, main de velours
Doigt posé sur la gâchette
Prêt à lâcher mes bombes
De moi de toi d'incandescence
Pour mieux recommencer ?
vendredi 16 novembre 2018
Mauvaise orientation
J'ai envie de me perdre
Dans les limbes de ton esprit
Dans lesquelles il s'y trame
Des choses si mystérieuses
Pour ceux qui comme moi
N'y connaissent que dalle
J'ai envie de me perdre
Sur la route interdite
Du confluent de la vie
Qui, sans qu'on ne s'y attende
Vous emmène au plus bas
D'abyssales envies
J'ai envie de me perdre
Dans ce ciel nuageux
Voler de Cumul aux Nimbus
Sans qu'aucune forte entrave
Ne vienne m'empêcher
D'y déverser mes larmes
J'ai envie de me perdre
Au loin dans ma cabane
Celle qui m'a tant donné
Sous de belles lumières vertes
Un joli soir d'hiver
Solitude réconfortante
J'ai envie de me perdre
Dans mon esprit obscur
Embrumé par le son
De ta jolie voix douce
Que j'essaye si vainement
D'aller rejoindre un jour...
Dans les limbes de ton esprit
Dans lesquelles il s'y trame
Des choses si mystérieuses
Pour ceux qui comme moi
N'y connaissent que dalle
J'ai envie de me perdre
Sur la route interdite
Du confluent de la vie
Qui, sans qu'on ne s'y attende
Vous emmène au plus bas
D'abyssales envies
J'ai envie de me perdre
Dans ce ciel nuageux
Voler de Cumul aux Nimbus
Sans qu'aucune forte entrave
Ne vienne m'empêcher
D'y déverser mes larmes
J'ai envie de me perdre
Au loin dans ma cabane
Celle qui m'a tant donné
Sous de belles lumières vertes
Un joli soir d'hiver
Solitude réconfortante
J'ai envie de me perdre
Dans mon esprit obscur
Embrumé par le son
De ta jolie voix douce
Que j'essaye si vainement
D'aller rejoindre un jour...
jeudi 15 novembre 2018
Ne m'empêche pas de rêver
Il est des mondes insoupçonnés
Qui nous emportent dans leurs songes,
Moi je les vois tu les ignores
De cette manière ils s’évaporent,
Ne m'empêche pas de rêver
La poudre aux yeux de l'infini
S'accroche sans cesse aux hérétiques,
Ceux qui s'envolent vers l'au-delà
Pour retrouver l'imaginaire,
Ne m'empêche pas de rêver
Telle une étoile en devenir,
Elle crache elle crie elle irradie
Qu'elle n'est qu'une lune en perdition
Mais moi je sais qu'il n'en est rien,
Ne m'empêche pas de rêver
Un jour il faudra bien se l'avouer,
L'amour n'est qu'une lueur fugace,
Qui s'introduit dans nos esprits
Au moment où il est le plus libre,
Ne m'empêche pas de rêver
Qui nous emportent dans leurs songes,
Moi je les vois tu les ignores
De cette manière ils s’évaporent,
Ne m'empêche pas de rêver
La poudre aux yeux de l'infini
S'accroche sans cesse aux hérétiques,
Ceux qui s'envolent vers l'au-delà
Pour retrouver l'imaginaire,
Ne m'empêche pas de rêver
Telle une étoile en devenir,
Elle crache elle crie elle irradie
Qu'elle n'est qu'une lune en perdition
Mais moi je sais qu'il n'en est rien,
Ne m'empêche pas de rêver
Un jour il faudra bien se l'avouer,
L'amour n'est qu'une lueur fugace,
Qui s'introduit dans nos esprits
Au moment où il est le plus libre,
Ne m'empêche pas de rêver
Petite princesse survoltée
C'est un orage inattendu
Qui en fin d'été s'est abattu
Dans mon esprit si engourdi
Déluge de larmes et de soleil
La petite Princesse, Survoltée
Des hauts des bas
Une relation électrique
Qui fait au moins du 220
Survolte ma vie si apathique
La petite Princesse, Survoltée
Tellement de jus qu'elle en devient
Si vivante et ça fait du bien
Elle me rend fou et elle m'obsède
Toujours enfouie dans mes viscères
La petite Princesse, Survoltée
Quand elle s'écrase
Tel un coup de foudre
Elle tombe du ciel avec
Son caractère si orageux
La petite Princesse, Survoltée
Ouragan de vie
Qui m’électrifie le coeur
Remplaçant les électrochocs
Elle me fait grimper dans les tours
La petite Princesse, Survoltée
Irradiant mon coeur fragile
Ses étincelles me laissent à mer
Elle est un génie démoniaque
Qui m'a volé la clé des rêves
La petite Princesse, Survoltée
Qui en fin d'été s'est abattu
Dans mon esprit si engourdi
Déluge de larmes et de soleil
La petite Princesse, Survoltée
Des hauts des bas
Une relation électrique
Qui fait au moins du 220
Survolte ma vie si apathique
La petite Princesse, Survoltée
Tellement de jus qu'elle en devient
Si vivante et ça fait du bien
Elle me rend fou et elle m'obsède
Toujours enfouie dans mes viscères
La petite Princesse, Survoltée
Quand elle s'écrase
Tel un coup de foudre
Elle tombe du ciel avec
Son caractère si orageux
La petite Princesse, Survoltée
Ouragan de vie
Qui m’électrifie le coeur
Remplaçant les électrochocs
Elle me fait grimper dans les tours
La petite Princesse, Survoltée
Irradiant mon coeur fragile
Ses étincelles me laissent à mer
Elle est un génie démoniaque
Qui m'a volé la clé des rêves
La petite Princesse, Survoltée
vendredi 9 novembre 2018
A travers les grilles
Des grilles comme horizon
C'est la tour de ma vie
Qui dans un donjon me maintien
Pourtant par la fenêtre
J'aperçois des tas de rêves
Qui semblent m'attendre au loin
Comme cette montagne à gravir
Ou ce territoire à découvrir
Peu importe juste vivre
C'est pourtant si facile
De sortir de la monotonie
Il suffit de s'enfuir...
C'est la tour de ma vie
Qui dans un donjon me maintien
Pourtant par la fenêtre
J'aperçois des tas de rêves
Qui semblent m'attendre au loin
Comme cette montagne à gravir
Ou ce territoire à découvrir
Peu importe juste vivre
C'est pourtant si facile
De sortir de la monotonie
Il suffit de s'enfuir...
jeudi 8 novembre 2018
Souviens-toi de tes rêves
Souviens-toi de tes rêves...
C'est par ces quelques mots
Que débute ce mantra
Qui sera répété, puis ensuite radoté
Aux plus jeunes des enfants
Souviens-toi de tes rêves
Tu rêvais d'aventures, de visiter la lune
Ou que la fée clochette viendrait t’ensorceler
Et telle la belle Alice, au pays des merveilles
Te saupoudrer ainsi, de poussière si magique
Souviens-toi de tes rêves
Tu allais t'envoler, au dessus des nuages
Disparaître en volant, au milieu de la foule
Et faire tout ce dont tu, avais toujours envie
Sans craindre de ne jamais totalement grandir
Souviens-toi de tes rêves
Perdre ton joli rire était ta plus grande peur
Et ta belle innocence la plus forte des horreurs
Tu serais soit chanteur où bien juste conteur
Les années jamais tu ne les verraient passer
Souviens-toi de tes rêves
Puisqu'un jour dandy ans tu te retrouvera
Empaffé dans une vie que tu a mal choisi
Les regrets ne pourront, jamais qu'être éternels
Si jamais tes rêves, trop oubliés deviennent...
C'est par ces quelques mots
Que débute ce mantra
Qui sera répété, puis ensuite radoté
Aux plus jeunes des enfants
Souviens-toi de tes rêves
Tu rêvais d'aventures, de visiter la lune
Ou que la fée clochette viendrait t’ensorceler
Et telle la belle Alice, au pays des merveilles
Te saupoudrer ainsi, de poussière si magique
Souviens-toi de tes rêves
Tu allais t'envoler, au dessus des nuages
Disparaître en volant, au milieu de la foule
Et faire tout ce dont tu, avais toujours envie
Sans craindre de ne jamais totalement grandir
Souviens-toi de tes rêves
Perdre ton joli rire était ta plus grande peur
Et ta belle innocence la plus forte des horreurs
Tu serais soit chanteur où bien juste conteur
Les années jamais tu ne les verraient passer
Souviens-toi de tes rêves
Puisqu'un jour dandy ans tu te retrouvera
Empaffé dans une vie que tu a mal choisi
Les regrets ne pourront, jamais qu'être éternels
Si jamais tes rêves, trop oubliés deviennent...
mercredi 7 novembre 2018
Cadena's life
Un jour, tu décides de cadenasser ta vie
Un code à quatre chiffres, pour bien t'en rappeler
Tu es sûr qu'ainsi il ne t'arriveras rien
En effet tu es jeune, naïf, et tu t'imagines
Que tes choix présents ne devront pas changer
Car tu sais ce que tu veux, tu sais ce que tu peux
Tu sais aussi ce que tu ne veux pas
C'est pour ça que tu as fermé à double tour
Le coffre de ton bonheur dans une boîte à malheur
Mais les temps ont changé l'étau s'est resserré
Petit à petit les mousquetaires ont disparu
Jusqu'au jour où tu as vraiment perdu la clé
Le code n'était pas la meilleure des idées
Ta mémoire s'enfonçant dans le bocal profond
Il va maintenant falloir vraiment se démener
Pour un jour réouvrir, le coffre de ta vie...
Un code à quatre chiffres, pour bien t'en rappeler
Tu es sûr qu'ainsi il ne t'arriveras rien
En effet tu es jeune, naïf, et tu t'imagines
Que tes choix présents ne devront pas changer
Car tu sais ce que tu veux, tu sais ce que tu peux
Tu sais aussi ce que tu ne veux pas
C'est pour ça que tu as fermé à double tour
Le coffre de ton bonheur dans une boîte à malheur
Mais les temps ont changé l'étau s'est resserré
Petit à petit les mousquetaires ont disparu
Jusqu'au jour où tu as vraiment perdu la clé
Le code n'était pas la meilleure des idées
Ta mémoire s'enfonçant dans le bocal profond
Il va maintenant falloir vraiment se démener
Pour un jour réouvrir, le coffre de ta vie...
Le Fantôme de ma vie
Il était une fois un petit fantôme, qui aimait, c'est certain, voler de cimes en branches, et virevolter tout autour de sa vie.
Au milieu des oiseaux, animaux et autres trolls des bois, il la regardait, sa vie sa mort, défiler sans se poser de questions. Vraiment ?
Des questions, il s'en posait néanmoins mais n'y répondait que trop rarement, par facilité certainement, la montagne à gravir étant bien trop énorme.
Il aurait pu voler et revenir en arrière, se demandant par ailleurs quel aurait été le meilleur chemin. Suivre le bleu sinueux ou le Grand Régulier, celui bien incertain ou le si rassurant, d'ailleurs en tant que Fantôme il faisait ce qu'il voulait !
Un jour il se trouva entre les deux voies à la vie à la mort, et tomba dans une crevasse. Des boulets lui avaient été attachés aux pieds. Même si nous ne sommes pas sûrs qu'il en avait...
La chute fut si terrible qu'elle dura l'éternité d'un instant, comme une pause continue.
Un ange passa.
Lorsqu'il se réveilla, et même si les fantômes ne dorment pas vraiment, son monde était devenu noir. Et bien qu'en tant que fantôme il vivait surtout la nuit, cette dernière était souvent accompagnée de la lune. Ce nouveau monde ténébreux l'effrayait car il ne savait quoi y faire. Sa mort ne l'amusait plus et il doutait aimer vivre ainsi pour l'éternité qu'il lui restait. Il lui faudrait agir.
C'est alors qu'il décida de prendre sa vie à bout de bras, bien qu'un fantôme en ai rarement...une serpillière et un coup de balai magique plus tard, il s'envola ainsi bien loin de tous ses tracas, ses blablah, car en y mettant un peu du sien, il y trouverait bien un nouvel horizon, un ciel bleu et des aurores, même si un fantôme ça vit la nuit et voit rarement le ciel bleu. Il avait cependant tellement envie de voir le soleil...
Au milieu des oiseaux, animaux et autres trolls des bois, il la regardait, sa vie sa mort, défiler sans se poser de questions. Vraiment ?
Des questions, il s'en posait néanmoins mais n'y répondait que trop rarement, par facilité certainement, la montagne à gravir étant bien trop énorme.
Il aurait pu voler et revenir en arrière, se demandant par ailleurs quel aurait été le meilleur chemin. Suivre le bleu sinueux ou le Grand Régulier, celui bien incertain ou le si rassurant, d'ailleurs en tant que Fantôme il faisait ce qu'il voulait !
Un jour il se trouva entre les deux voies à la vie à la mort, et tomba dans une crevasse. Des boulets lui avaient été attachés aux pieds. Même si nous ne sommes pas sûrs qu'il en avait...
La chute fut si terrible qu'elle dura l'éternité d'un instant, comme une pause continue.
Un ange passa.
Lorsqu'il se réveilla, et même si les fantômes ne dorment pas vraiment, son monde était devenu noir. Et bien qu'en tant que fantôme il vivait surtout la nuit, cette dernière était souvent accompagnée de la lune. Ce nouveau monde ténébreux l'effrayait car il ne savait quoi y faire. Sa mort ne l'amusait plus et il doutait aimer vivre ainsi pour l'éternité qu'il lui restait. Il lui faudrait agir.
C'est alors qu'il décida de prendre sa vie à bout de bras, bien qu'un fantôme en ai rarement...une serpillière et un coup de balai magique plus tard, il s'envola ainsi bien loin de tous ses tracas, ses blablah, car en y mettant un peu du sien, il y trouverait bien un nouvel horizon, un ciel bleu et des aurores, même si un fantôme ça vit la nuit et voit rarement le ciel bleu. Il avait cependant tellement envie de voir le soleil...
vendredi 2 novembre 2018
Larmes matinales
Il pleut sur mon âme et dire ça c'est bêta
Les larmes de pluie sont souvent incomprises
C'est pourtant grâce à elles que se remplissent les lacs
Profonds et sombres, mystérieux et effrayants
On y laisse nos pensées les plus viles et sournoises
Issues de nos instincts exclues de nos pensées
Celles par qui le malheur arrivera
Sont celles par qui incertain est l'avenir
C'est pourtant salutaire de courir sous la pluie
D'accepter ses frissons et son âme furibonde
Les larmes tombent toujours pour colmater le cœur
Et vous souhaiteront certainement un bien joli malheur
Inscription à :
Articles (Atom)