Quand les températures s'effondrent
Dans les abysses de mon esprit
C'est l'un de ces jours si glaçant
D'où seuls sortent quelques trolls
Qu'elle apparu si furtivement
Déesse céleste dans mes yeux
Si lumineuse qu'on l'aurait cru
Échappée du bal des débutantes
Elle trouvait difficilement sa place
Fragile comme un bas qui se délite
Chevelure verte ondoyante
Happy happy happy guy
Constellation de 1000 échecs
Tu lèves les bras vers l'horizon
De peur de ne pouvoir l'attraper
Elle doit filer sûrement cette étoile
Furtive muse tentant d'échapper
Aux Roi mages si menaçants
Nœud papillon ou sablier
S'y faufile ainsi Maître Scorpion
Telle une flèche à bout portant
Cette belle mais éphémère folie
A voulu attraper le chasseur
Qui drapeau blanc flottant au vent
S'est vu traverser en volant
Une tempête soudain recouvrit
Ce royaume blanc si glaçant
L’éblouissement de mes pensées
Fendant ainsi sa carapace
Tortue filante et souriante
Réfugiée à l'ombre de ma joie
Maigres instants si suffocants
Puis, sans crier gare tout explosa
Nébuleuse devint mon étoile
Repartant vers une autre constellation
Major Tom l'avait bien bien prédit
Les étoiles sont si différentes
Une fois la colère retombée
Pile poil on pensait être arrivé
Mais elles restent ici à flotter
Des Poèmes sur la vie, sur l'amour, des mots de vie. Faire sortir des maux par des mots, débuter une histoire, des chansons et paroles...
mardi 27 novembre 2018
jeudi 22 novembre 2018
La fin est-elle un commencement ?
J'attends comme un con
Sur le quai de cette histoire
Appréhendant cette faille
Se trouvant à l'horizon
Pour ne pas trop souffrir
Je sais qu'il est si difficile
De clôturer ce dernier chapitre
Je noie donc mon chagrin
Toutes les bonnes choses
Ont une fin dit-on
Mais à l'aube de celle-ci
Je croyais en l'infini
Seulement quand elle se pointe
N'y sommes nous jamais prêt
Il serait ainsi confortable
D'être plutôt à l'arrêt
Sang chaud, main de velours
Doigt posé sur la gâchette
Prêt à lâcher mes bombes
De moi de toi d'incandescence
Pour mieux recommencer ?
Sur le quai de cette histoire
Appréhendant cette faille
Se trouvant à l'horizon
Pour ne pas trop souffrir
Je sais qu'il est si difficile
De clôturer ce dernier chapitre
Je noie donc mon chagrin
Toutes les bonnes choses
Ont une fin dit-on
Mais à l'aube de celle-ci
Je croyais en l'infini
Seulement quand elle se pointe
N'y sommes nous jamais prêt
Il serait ainsi confortable
D'être plutôt à l'arrêt
Sang chaud, main de velours
Doigt posé sur la gâchette
Prêt à lâcher mes bombes
De moi de toi d'incandescence
Pour mieux recommencer ?
vendredi 16 novembre 2018
Mauvaise orientation
J'ai envie de me perdre
Dans les limbes de ton esprit
Dans lesquelles il s'y trame
Des choses si mystérieuses
Pour ceux qui comme moi
N'y connaissent que dalle
J'ai envie de me perdre
Sur la route interdite
Du confluent de la vie
Qui, sans qu'on ne s'y attende
Vous emmène au plus bas
D'abyssales envies
J'ai envie de me perdre
Dans ce ciel nuageux
Voler de Cumul aux Nimbus
Sans qu'aucune forte entrave
Ne vienne m'empêcher
D'y déverser mes larmes
J'ai envie de me perdre
Au loin dans ma cabane
Celle qui m'a tant donné
Sous de belles lumières vertes
Un joli soir d'hiver
Solitude réconfortante
J'ai envie de me perdre
Dans mon esprit obscur
Embrumé par le son
De ta jolie voix douce
Que j'essaye si vainement
D'aller rejoindre un jour...
Dans les limbes de ton esprit
Dans lesquelles il s'y trame
Des choses si mystérieuses
Pour ceux qui comme moi
N'y connaissent que dalle
J'ai envie de me perdre
Sur la route interdite
Du confluent de la vie
Qui, sans qu'on ne s'y attende
Vous emmène au plus bas
D'abyssales envies
J'ai envie de me perdre
Dans ce ciel nuageux
Voler de Cumul aux Nimbus
Sans qu'aucune forte entrave
Ne vienne m'empêcher
D'y déverser mes larmes
J'ai envie de me perdre
Au loin dans ma cabane
Celle qui m'a tant donné
Sous de belles lumières vertes
Un joli soir d'hiver
Solitude réconfortante
J'ai envie de me perdre
Dans mon esprit obscur
Embrumé par le son
De ta jolie voix douce
Que j'essaye si vainement
D'aller rejoindre un jour...
jeudi 15 novembre 2018
Ne m'empêche pas de rêver
Il est des mondes insoupçonnés
Qui nous emportent dans leurs songes,
Moi je les vois tu les ignores
De cette manière ils s’évaporent,
Ne m'empêche pas de rêver
La poudre aux yeux de l'infini
S'accroche sans cesse aux hérétiques,
Ceux qui s'envolent vers l'au-delà
Pour retrouver l'imaginaire,
Ne m'empêche pas de rêver
Telle une étoile en devenir,
Elle crache elle crie elle irradie
Qu'elle n'est qu'une lune en perdition
Mais moi je sais qu'il n'en est rien,
Ne m'empêche pas de rêver
Un jour il faudra bien se l'avouer,
L'amour n'est qu'une lueur fugace,
Qui s'introduit dans nos esprits
Au moment où il est le plus libre,
Ne m'empêche pas de rêver
Qui nous emportent dans leurs songes,
Moi je les vois tu les ignores
De cette manière ils s’évaporent,
Ne m'empêche pas de rêver
La poudre aux yeux de l'infini
S'accroche sans cesse aux hérétiques,
Ceux qui s'envolent vers l'au-delà
Pour retrouver l'imaginaire,
Ne m'empêche pas de rêver
Telle une étoile en devenir,
Elle crache elle crie elle irradie
Qu'elle n'est qu'une lune en perdition
Mais moi je sais qu'il n'en est rien,
Ne m'empêche pas de rêver
Un jour il faudra bien se l'avouer,
L'amour n'est qu'une lueur fugace,
Qui s'introduit dans nos esprits
Au moment où il est le plus libre,
Ne m'empêche pas de rêver
Petite princesse survoltée
C'est un orage inattendu
Qui en fin d'été s'est abattu
Dans mon esprit si engourdi
Déluge de larmes et de soleil
La petite Princesse, Survoltée
Des hauts des bas
Une relation électrique
Qui fait au moins du 220
Survolte ma vie si apathique
La petite Princesse, Survoltée
Tellement de jus qu'elle en devient
Si vivante et ça fait du bien
Elle me rend fou et elle m'obsède
Toujours enfouie dans mes viscères
La petite Princesse, Survoltée
Quand elle s'écrase
Tel un coup de foudre
Elle tombe du ciel avec
Son caractère si orageux
La petite Princesse, Survoltée
Ouragan de vie
Qui m’électrifie le coeur
Remplaçant les électrochocs
Elle me fait grimper dans les tours
La petite Princesse, Survoltée
Irradiant mon coeur fragile
Ses étincelles me laissent à mer
Elle est un génie démoniaque
Qui m'a volé la clé des rêves
La petite Princesse, Survoltée
Qui en fin d'été s'est abattu
Dans mon esprit si engourdi
Déluge de larmes et de soleil
La petite Princesse, Survoltée
Des hauts des bas
Une relation électrique
Qui fait au moins du 220
Survolte ma vie si apathique
La petite Princesse, Survoltée
Tellement de jus qu'elle en devient
Si vivante et ça fait du bien
Elle me rend fou et elle m'obsède
Toujours enfouie dans mes viscères
La petite Princesse, Survoltée
Quand elle s'écrase
Tel un coup de foudre
Elle tombe du ciel avec
Son caractère si orageux
La petite Princesse, Survoltée
Ouragan de vie
Qui m’électrifie le coeur
Remplaçant les électrochocs
Elle me fait grimper dans les tours
La petite Princesse, Survoltée
Irradiant mon coeur fragile
Ses étincelles me laissent à mer
Elle est un génie démoniaque
Qui m'a volé la clé des rêves
La petite Princesse, Survoltée
vendredi 9 novembre 2018
A travers les grilles
Des grilles comme horizon
C'est la tour de ma vie
Qui dans un donjon me maintien
Pourtant par la fenêtre
J'aperçois des tas de rêves
Qui semblent m'attendre au loin
Comme cette montagne à gravir
Ou ce territoire à découvrir
Peu importe juste vivre
C'est pourtant si facile
De sortir de la monotonie
Il suffit de s'enfuir...
C'est la tour de ma vie
Qui dans un donjon me maintien
Pourtant par la fenêtre
J'aperçois des tas de rêves
Qui semblent m'attendre au loin
Comme cette montagne à gravir
Ou ce territoire à découvrir
Peu importe juste vivre
C'est pourtant si facile
De sortir de la monotonie
Il suffit de s'enfuir...
jeudi 8 novembre 2018
Souviens-toi de tes rêves
Souviens-toi de tes rêves...
C'est par ces quelques mots
Que débute ce mantra
Qui sera répété, puis ensuite radoté
Aux plus jeunes des enfants
Souviens-toi de tes rêves
Tu rêvais d'aventures, de visiter la lune
Ou que la fée clochette viendrait t’ensorceler
Et telle la belle Alice, au pays des merveilles
Te saupoudrer ainsi, de poussière si magique
Souviens-toi de tes rêves
Tu allais t'envoler, au dessus des nuages
Disparaître en volant, au milieu de la foule
Et faire tout ce dont tu, avais toujours envie
Sans craindre de ne jamais totalement grandir
Souviens-toi de tes rêves
Perdre ton joli rire était ta plus grande peur
Et ta belle innocence la plus forte des horreurs
Tu serais soit chanteur où bien juste conteur
Les années jamais tu ne les verraient passer
Souviens-toi de tes rêves
Puisqu'un jour dandy ans tu te retrouvera
Empaffé dans une vie que tu a mal choisi
Les regrets ne pourront, jamais qu'être éternels
Si jamais tes rêves, trop oubliés deviennent...
C'est par ces quelques mots
Que débute ce mantra
Qui sera répété, puis ensuite radoté
Aux plus jeunes des enfants
Souviens-toi de tes rêves
Tu rêvais d'aventures, de visiter la lune
Ou que la fée clochette viendrait t’ensorceler
Et telle la belle Alice, au pays des merveilles
Te saupoudrer ainsi, de poussière si magique
Souviens-toi de tes rêves
Tu allais t'envoler, au dessus des nuages
Disparaître en volant, au milieu de la foule
Et faire tout ce dont tu, avais toujours envie
Sans craindre de ne jamais totalement grandir
Souviens-toi de tes rêves
Perdre ton joli rire était ta plus grande peur
Et ta belle innocence la plus forte des horreurs
Tu serais soit chanteur où bien juste conteur
Les années jamais tu ne les verraient passer
Souviens-toi de tes rêves
Puisqu'un jour dandy ans tu te retrouvera
Empaffé dans une vie que tu a mal choisi
Les regrets ne pourront, jamais qu'être éternels
Si jamais tes rêves, trop oubliés deviennent...
mercredi 7 novembre 2018
Cadena's life
Un jour, tu décides de cadenasser ta vie
Un code à quatre chiffres, pour bien t'en rappeler
Tu es sûr qu'ainsi il ne t'arriveras rien
En effet tu es jeune, naïf, et tu t'imagines
Que tes choix présents ne devront pas changer
Car tu sais ce que tu veux, tu sais ce que tu peux
Tu sais aussi ce que tu ne veux pas
C'est pour ça que tu as fermé à double tour
Le coffre de ton bonheur dans une boîte à malheur
Mais les temps ont changé l'étau s'est resserré
Petit à petit les mousquetaires ont disparu
Jusqu'au jour où tu as vraiment perdu la clé
Le code n'était pas la meilleure des idées
Ta mémoire s'enfonçant dans le bocal profond
Il va maintenant falloir vraiment se démener
Pour un jour réouvrir, le coffre de ta vie...
Un code à quatre chiffres, pour bien t'en rappeler
Tu es sûr qu'ainsi il ne t'arriveras rien
En effet tu es jeune, naïf, et tu t'imagines
Que tes choix présents ne devront pas changer
Car tu sais ce que tu veux, tu sais ce que tu peux
Tu sais aussi ce que tu ne veux pas
C'est pour ça que tu as fermé à double tour
Le coffre de ton bonheur dans une boîte à malheur
Mais les temps ont changé l'étau s'est resserré
Petit à petit les mousquetaires ont disparu
Jusqu'au jour où tu as vraiment perdu la clé
Le code n'était pas la meilleure des idées
Ta mémoire s'enfonçant dans le bocal profond
Il va maintenant falloir vraiment se démener
Pour un jour réouvrir, le coffre de ta vie...
Le Fantôme de ma vie
Il était une fois un petit fantôme, qui aimait, c'est certain, voler de cimes en branches, et virevolter tout autour de sa vie.
Au milieu des oiseaux, animaux et autres trolls des bois, il la regardait, sa vie sa mort, défiler sans se poser de questions. Vraiment ?
Des questions, il s'en posait néanmoins mais n'y répondait que trop rarement, par facilité certainement, la montagne à gravir étant bien trop énorme.
Il aurait pu voler et revenir en arrière, se demandant par ailleurs quel aurait été le meilleur chemin. Suivre le bleu sinueux ou le Grand Régulier, celui bien incertain ou le si rassurant, d'ailleurs en tant que Fantôme il faisait ce qu'il voulait !
Un jour il se trouva entre les deux voies à la vie à la mort, et tomba dans une crevasse. Des boulets lui avaient été attachés aux pieds. Même si nous ne sommes pas sûrs qu'il en avait...
La chute fut si terrible qu'elle dura l'éternité d'un instant, comme une pause continue.
Un ange passa.
Lorsqu'il se réveilla, et même si les fantômes ne dorment pas vraiment, son monde était devenu noir. Et bien qu'en tant que fantôme il vivait surtout la nuit, cette dernière était souvent accompagnée de la lune. Ce nouveau monde ténébreux l'effrayait car il ne savait quoi y faire. Sa mort ne l'amusait plus et il doutait aimer vivre ainsi pour l'éternité qu'il lui restait. Il lui faudrait agir.
C'est alors qu'il décida de prendre sa vie à bout de bras, bien qu'un fantôme en ai rarement...une serpillière et un coup de balai magique plus tard, il s'envola ainsi bien loin de tous ses tracas, ses blablah, car en y mettant un peu du sien, il y trouverait bien un nouvel horizon, un ciel bleu et des aurores, même si un fantôme ça vit la nuit et voit rarement le ciel bleu. Il avait cependant tellement envie de voir le soleil...
Au milieu des oiseaux, animaux et autres trolls des bois, il la regardait, sa vie sa mort, défiler sans se poser de questions. Vraiment ?
Des questions, il s'en posait néanmoins mais n'y répondait que trop rarement, par facilité certainement, la montagne à gravir étant bien trop énorme.
Il aurait pu voler et revenir en arrière, se demandant par ailleurs quel aurait été le meilleur chemin. Suivre le bleu sinueux ou le Grand Régulier, celui bien incertain ou le si rassurant, d'ailleurs en tant que Fantôme il faisait ce qu'il voulait !
Un jour il se trouva entre les deux voies à la vie à la mort, et tomba dans une crevasse. Des boulets lui avaient été attachés aux pieds. Même si nous ne sommes pas sûrs qu'il en avait...
La chute fut si terrible qu'elle dura l'éternité d'un instant, comme une pause continue.
Un ange passa.
Lorsqu'il se réveilla, et même si les fantômes ne dorment pas vraiment, son monde était devenu noir. Et bien qu'en tant que fantôme il vivait surtout la nuit, cette dernière était souvent accompagnée de la lune. Ce nouveau monde ténébreux l'effrayait car il ne savait quoi y faire. Sa mort ne l'amusait plus et il doutait aimer vivre ainsi pour l'éternité qu'il lui restait. Il lui faudrait agir.
C'est alors qu'il décida de prendre sa vie à bout de bras, bien qu'un fantôme en ai rarement...une serpillière et un coup de balai magique plus tard, il s'envola ainsi bien loin de tous ses tracas, ses blablah, car en y mettant un peu du sien, il y trouverait bien un nouvel horizon, un ciel bleu et des aurores, même si un fantôme ça vit la nuit et voit rarement le ciel bleu. Il avait cependant tellement envie de voir le soleil...
vendredi 2 novembre 2018
Larmes matinales
Il pleut sur mon âme et dire ça c'est bêta
Les larmes de pluie sont souvent incomprises
C'est pourtant grâce à elles que se remplissent les lacs
Profonds et sombres, mystérieux et effrayants
On y laisse nos pensées les plus viles et sournoises
Issues de nos instincts exclues de nos pensées
Celles par qui le malheur arrivera
Sont celles par qui incertain est l'avenir
C'est pourtant salutaire de courir sous la pluie
D'accepter ses frissons et son âme furibonde
Les larmes tombent toujours pour colmater le cœur
Et vous souhaiteront certainement un bien joli malheur
vendredi 26 octobre 2018
Just a perfect day...Oh wait...
C’est arrivé comme un gros coup de vent, une tempête qui déboule tel Dies Irae, avec le temps de s’installer.
Boulette d’énergie, incandescente et sombre à la fois, c’est crescendo qu’il s’est rapidement mais peu à peu mis en place, ce jour parfait.
C’était une sorte de yoyo magique, ensorcelé, qui n’en finissait pas de rebondir, un tic tac d’émotions.
J’imaginais foncer tout droit dedans sans airbag pour te rattraper, l’idée saugrenue que ça ne me ferait pas mal. Que ce qui ne tue pas me rendrait plus fort, plus grand, c’est vain. Je resterais petit.
Et volontairement, car sinon ce n’est pas drôle, je m’élucubre à me faire éjecter de ta vie en passant par une voie 9 3/4, puis repartir de zéro, ou 3, 2, 1, rien n’a de sens de toute façon, où en sommes-nous ?
Reculer pour mieux sauter, tomber sans s’arrêter, une chute que je ne maîtrises pas, une chute vers l’incertitude du quotidien, vers l’ennui de la vie, et c’est ainsi…va la vie…
Il s’était terminé de manière bien différente qu’il n’avait commencé, la tête dans les choux. Un mur de choux, qui dans la brume laissait présager d’un temps incertain, un temps propice aux rêveries que seuls les trolls les plus malicieux auraient pu pénétrer.
Ce jour parfait avait mis du temps à arriver, avait été bien long à se dérouler, lent d’abord, s’accélérant ensuite. Une symphonie tardant à se mettre en place mais se terminant en apothéose.
La montre n’en finissait pas de faire sienne et décider ainsi des moments fugaces de bon an malheur.
Le mur inversé s’approchait, celui vers lequel tu n’avances pas avant que le temps ne prenne enfin la fuite, comme l’eau d’une canalisation mal rebouchée. Pchiiit !
Cependant quand on sait que la chute n’est pas loin…
Savoir qu’elle ne me fera pas de bien, savoir qu’elle arrivera peut-être trop tôt, peut-être plus tard, finalement, est-ce que ça fait du bien ?
Boulette d’énergie, incandescente et sombre à la fois, c’est crescendo qu’il s’est rapidement mais peu à peu mis en place, ce jour parfait.
C’était une sorte de yoyo magique, ensorcelé, qui n’en finissait pas de rebondir, un tic tac d’émotions.
J’imaginais foncer tout droit dedans sans airbag pour te rattraper, l’idée saugrenue que ça ne me ferait pas mal. Que ce qui ne tue pas me rendrait plus fort, plus grand, c’est vain. Je resterais petit.
Et volontairement, car sinon ce n’est pas drôle, je m’élucubre à me faire éjecter de ta vie en passant par une voie 9 3/4, puis repartir de zéro, ou 3, 2, 1, rien n’a de sens de toute façon, où en sommes-nous ?
Reculer pour mieux sauter, tomber sans s’arrêter, une chute que je ne maîtrises pas, une chute vers l’incertitude du quotidien, vers l’ennui de la vie, et c’est ainsi…va la vie…
Il s’était terminé de manière bien différente qu’il n’avait commencé, la tête dans les choux. Un mur de choux, qui dans la brume laissait présager d’un temps incertain, un temps propice aux rêveries que seuls les trolls les plus malicieux auraient pu pénétrer.
Ce jour parfait avait mis du temps à arriver, avait été bien long à se dérouler, lent d’abord, s’accélérant ensuite. Une symphonie tardant à se mettre en place mais se terminant en apothéose.
La montre n’en finissait pas de faire sienne et décider ainsi des moments fugaces de bon an malheur.
Le mur inversé s’approchait, celui vers lequel tu n’avances pas avant que le temps ne prenne enfin la fuite, comme l’eau d’une canalisation mal rebouchée. Pchiiit !
Cependant quand on sait que la chute n’est pas loin…
Savoir qu’elle ne me fera pas de bien, savoir qu’elle arrivera peut-être trop tôt, peut-être plus tard, finalement, est-ce que ça fait du bien ?
samedi 20 octobre 2018
Le hussard
Old School 2007
J'ai cru que c'était un oiseau de mauvais augure,
Posé sur le toit, des vanités du monde,
A l'envers, qui hélas ne se retourne pas.
Feu follet qui s'amène, bleu au cœur
Je n'aurais pas cru, tu n'aurais pas dû.
Un hussard sur le toit s'envole sous cette pluie
Débordante de vice, c'est l'automne du cœur
Saisons embrouillées, est-ce l'appel du large ?
Tu n'aurais pas dû !
Le hussard s'est sauvé, échappé de cette vie,
Un hussard ou pas, cette guerre est perdue.
Je n'suis pas encore, un papillon.
Le hussard bien caché derrière les feuilles du vert-tebré
Décérébré il est devenu invisible devant ma porte
Ses yeux fermés sur ma serrure,
Cette prison dorée je veux l'éclater
Le hussard était ainsi,
L'ombre de désirs refoulés.
Un hussard sur le toit,
De merde desséchées de la vie
J'ai cru que c'était un oiseau de mauvais augure,
Posé sur le toit, des vanités du monde,
A l'envers, qui hélas ne se retourne pas.
Feu follet qui s'amène, bleu au cœur
Je n'aurais pas cru, tu n'aurais pas dû.
Un hussard sur le toit s'envole sous cette pluie
Débordante de vice, c'est l'automne du cœur
Saisons embrouillées, est-ce l'appel du large ?
Tu n'aurais pas dû !
Le hussard s'est sauvé, échappé de cette vie,
Un hussard ou pas, cette guerre est perdue.
Je n'suis pas encore, un papillon.
Le hussard bien caché derrière les feuilles du vert-tebré
Décérébré il est devenu invisible devant ma porte
Ses yeux fermés sur ma serrure,
Cette prison dorée je veux l'éclater
Le hussard était ainsi,
L'ombre de désirs refoulés.
Un hussard sur le toit,
De merde desséchées de la vie
Si l’on me demandait…
Si l’on me demandait
Ce serait pour un an
Où bien toute une vie
Et non pas pour 3 ans
Car 3 vies, impossible
Je ne suis pas un chat
Si l’on m’interrogeais
Sur ce que je souhaiterai
Y faire et bien y vivre
Ce serait différent car
Bien plus intéressant
Comme m’échapper d’une cage
Être les pieds dans la neige
Le matin au réveil
Ou les pieds sur le lac
Pourtant bien loin de la croix
Que je porte pourtant
Mes guêtres s’en approchant
Ce serait différent
Dix vies au loin pourtant
Portants espoirs et craintes
Que le réveil désiré
Sous le soleil de minuit
Soit l’aurore de ma vie
Serais-ce une chimère
D’imaginer que l’herbe
Bien que blanche et couverte
Soit plus verte que celle
Qui si près mal à l’aise
Peine sous mon pâle soleil
Mais je ne réponds plus
Fatigué de rêver
Peter va s’en aller
Sous les coups de la nuit
Aux crochets de laquelle
La cloche va tinter
(20/11/2013)
Ce serait pour un an
Où bien toute une vie
Et non pas pour 3 ans
Car 3 vies, impossible
Je ne suis pas un chat
Si l’on m’interrogeais
Sur ce que je souhaiterai
Y faire et bien y vivre
Ce serait différent car
Bien plus intéressant
Comme m’échapper d’une cage
Être les pieds dans la neige
Le matin au réveil
Ou les pieds sur le lac
Pourtant bien loin de la croix
Que je porte pourtant
Mes guêtres s’en approchant
Ce serait différent
Dix vies au loin pourtant
Portants espoirs et craintes
Que le réveil désiré
Sous le soleil de minuit
Soit l’aurore de ma vie
Serais-ce une chimère
D’imaginer que l’herbe
Bien que blanche et couverte
Soit plus verte que celle
Qui si près mal à l’aise
Peine sous mon pâle soleil
Mais je ne réponds plus
Fatigué de rêver
Peter va s’en aller
Sous les coups de la nuit
Aux crochets de laquelle
La cloche va tinter
(20/11/2013)
vendredi 19 octobre 2018
Je n'sais plus aimer
Old School 2007
Fini le temps, de l'amour,
Fini le temps, de la confiance,
Conscience de ce leurre, décelé, mais quand est-ce ?
Une vie, un rêve, une utopie,
Nous ne vieillirons pas ensemble
Nous ne vieillirons, plus ensemble
Sa vie est une prière,
La vie des autres, une bagatelle,
Pantin de chair, humain usé, les raisons de la colère,
Déraison fruit du hasard,
Décelé, mais quand est-ce ?
Nous ne vieillirons hélas plus ensemble
Aimer, c'était l'utopie de croire compter
Qu'un être autre au bout du fil de la vie
Te tiens à bout de bras
Tentation d'éviter l'envie,
Les neuf vices pêchés du félin
Qui sera celle qui ? Mais quand est-ce ?
Qui saura tel un I Con Ga me réveiller ?
Je nsais plus aimer, jouer avec les maux des autres,
Je nsais plus c'est un mal, je nsais plus est-ce un bien...
J'ai perdu mes feuilles, chêne d'hiver, chaînes brisées,
Verrou cassé floraison hâtive, divers, mais quand est-ce ?
Ce rêve utopique d'avoir pensé vieillir ensemble
Laissé sur le côté du chemin de cette vie
Bord de coûte que coûte relancer le Zeppelin,
Viser juste, la petite lumière
Je nsais plus, pourquoi pas
Qu'est-ce et quand est-ce que non tu ndois pas
Tu ne peux plus avec moi vieillir,
Je ne sais je ne peux je ne sais je ne peux plus aimer
Nous ne vieillirons hélas, plus ensemble...
Fini le temps, de l'amour,
Fini le temps, de la confiance,
Conscience de ce leurre, décelé, mais quand est-ce ?
Une vie, un rêve, une utopie,
Nous ne vieillirons pas ensemble
Nous ne vieillirons, plus ensemble
Sa vie est une prière,
La vie des autres, une bagatelle,
Pantin de chair, humain usé, les raisons de la colère,
Déraison fruit du hasard,
Décelé, mais quand est-ce ?
Nous ne vieillirons hélas plus ensemble
Aimer, c'était l'utopie de croire compter
Qu'un être autre au bout du fil de la vie
Te tiens à bout de bras
Tentation d'éviter l'envie,
Les neuf vices pêchés du félin
Qui sera celle qui ? Mais quand est-ce ?
Qui saura tel un I Con Ga me réveiller ?
Je nsais plus aimer, jouer avec les maux des autres,
Je nsais plus c'est un mal, je nsais plus est-ce un bien...
J'ai perdu mes feuilles, chêne d'hiver, chaînes brisées,
Verrou cassé floraison hâtive, divers, mais quand est-ce ?
Ce rêve utopique d'avoir pensé vieillir ensemble
Laissé sur le côté du chemin de cette vie
Bord de coûte que coûte relancer le Zeppelin,
Viser juste, la petite lumière
Je nsais plus, pourquoi pas
Qu'est-ce et quand est-ce que non tu ndois pas
Tu ne peux plus avec moi vieillir,
Je ne sais je ne peux je ne sais je ne peux plus aimer
Nous ne vieillirons hélas, plus ensemble...
mardi 16 octobre 2018
Contre courant
Ols school 2007
A contre courant de tes pensées
J'aurais bien aimé ne pas vivre autant
Ne pas m'arrêter sur ce quai désert
Qui m'incommode tant
Je n'ai même pas pu y vivre un printemps
Le temps que les oeufs du ciel ne puissent se casser
Neuf ou vieux moi en tout cas, je ne suis plus là
Neuf mois ont suffit pour accoucher d'une vie
Hélas pas choisie, retour en arrière, à zéro repartir
Personne n'a pigé ta réalité, ma fatalité
Ce n'est hélas que ça la vie,
Des parts de rien, partir de tout,
Ne pas se retourner, c'est ça qu'il faut quitter
lundi 15 octobre 2018
La Dame Blanche
Old School 2007
La Dame Blanche a fondue pour des cornes
Désert amer, dune isolée, addition trop lourde
La Dame Blanche n'est jamais arrivée
A destination, trop de chaud comme là
Hypocrite blanche femme du bord de ma route
Étais-tu vraie étais-tu fausse ?
En coulant tu m'as brisée de mon chemin
Nœud de lumière diffuse, coupe opaque brisée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
La Dame Blanche était un leurre
Le dessert parfait à fondu
Croqué par ce beau zébut de l'être
En chaleur, la Dame Blanche n'a jamais existée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
La Dame Blanche a fondue pour des cornes
Désert amer, dune isolée, addition trop lourde
La Dame Blanche n'est jamais arrivée
A destination, trop de chaud comme là
Hypocrite blanche femme du bord de ma route
Étais-tu vraie étais-tu fausse ?
En coulant tu m'as brisée de mon chemin
Nœud de lumière diffuse, coupe opaque brisée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
La Dame Blanche était un leurre
Le dessert parfait à fondu
Croqué par ce beau zébut de l'être
En chaleur, la Dame Blanche n'a jamais existée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
lundi 8 octobre 2018
L'âmanité
Old school 2005
Comment faire, pour rêver, sans ce monde, si affligeant
Où tout s'écroule, pas que les tours, où la bonté, est un pêché
Heureusement, que Dieu est là, il nous guide, nous parasite,
Ce vieux gars là, au dessus des lois, n'est qu'une défaite, et un prétexte
Pour se doter d'âmanité
Comment faire, pour bifurquer, de cette vie, si avariée
La pourriture, est consommée, la charitée, s'en est allée
Démissionnée, et remplacée, par de gentils, spadassins,
Balancés, en plein conflit, future défaite, comment faire,
Pour se doter d'âmanité ?
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
Comment faire, pour s'épargner, de toute cette merde, qui nous entoure,
Y'en a qui choisissent, une milice, d'autres préfèrent le missionnaire,
Divinité, maréchaussée, d'où est-ce que ça vient, je n'en sais rien
Tout cque je sais, c'est que ce bordel, est une défaite, et qu'il faudrait
Se doter d'âmanité !
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
Comment faire, pour rêver, sans ce monde, si affligeant
Où tout s'écroule, pas que les tours, où la bonté, est un pêché
Heureusement, que Dieu est là, il nous guide, nous parasite,
Ce vieux gars là, au dessus des lois, n'est qu'une défaite, et un prétexte
Pour se doter d'âmanité
Comment faire, pour bifurquer, de cette vie, si avariée
La pourriture, est consommée, la charitée, s'en est allée
Démissionnée, et remplacée, par de gentils, spadassins,
Balancés, en plein conflit, future défaite, comment faire,
Pour se doter d'âmanité ?
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
Comment faire, pour s'épargner, de toute cette merde, qui nous entoure,
Y'en a qui choisissent, une milice, d'autres préfèrent le missionnaire,
Divinité, maréchaussée, d'où est-ce que ça vient, je n'en sais rien
Tout cque je sais, c'est que ce bordel, est une défaite, et qu'il faudrait
Se doter d'âmanité !
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
dimanche 7 octobre 2018
J'aimerais pouvoir...
Old school 2005
J'ai tant envie de voir, ce qu'il a dans sa tête là,
Je ferais n'importe quoi, pour pouvoir tout savoir,
Est-ce de la curiosité, ou de la morosité ?
Pouvoir changer de vie, échanger avec autrui,
Quitter tous ces soucis, ceux de la vie,
Un nouveau destin, impossible c'est certain.
J'aimerais une nouvelle maison, un métier, une autre façon,
De nouer mes vestons, et chanter ces chansons,
La glace serait différente, j'aurais une nouvelle famille,
Im po ssible, c'est certain,
Et pour tant, ce srait bien,
De pou voir, connaître tout ça !
J'aimerais tant pouvoir voir, la vie de ce côté là,
Les objets que je connais, sont-ils tous pareils ?
Odeurs, sons et puis touchés, ont-ils la même volupté ?
Je ferais des tas de choses, interdites dans ma vie,
Aucun risque de pleurer, car ce nsrait pas la mienne,
Jpourrais faire toutes les conneries, lui pourrrir sa vie à lui...
Im po ssible, c'est cré tin,
De vou loir, faire tout ça,
et pourtant, j'aimerais ça
Finalement je n'aimerais pas, perdre tout ce que j'ai là,
Ne plus me voir, dans la glace, admirer toute cette grinta,
Ma vie comme elle est là, finalement elle est pas si mal...
J'ai tant envie de voir, ce qu'il a dans sa tête là,
Je ferais n'importe quoi, pour pouvoir tout savoir,
Est-ce de la curiosité, ou de la morosité ?
Pouvoir changer de vie, échanger avec autrui,
Quitter tous ces soucis, ceux de la vie,
Un nouveau destin, impossible c'est certain.
J'aimerais une nouvelle maison, un métier, une autre façon,
De nouer mes vestons, et chanter ces chansons,
La glace serait différente, j'aurais une nouvelle famille,
Im po ssible, c'est certain,
Et pour tant, ce srait bien,
De pou voir, connaître tout ça !
J'aimerais tant pouvoir voir, la vie de ce côté là,
Les objets que je connais, sont-ils tous pareils ?
Odeurs, sons et puis touchés, ont-ils la même volupté ?
Je ferais des tas de choses, interdites dans ma vie,
Aucun risque de pleurer, car ce nsrait pas la mienne,
Jpourrais faire toutes les conneries, lui pourrrir sa vie à lui...
Im po ssible, c'est cré tin,
De vou loir, faire tout ça,
et pourtant, j'aimerais ça
Finalement je n'aimerais pas, perdre tout ce que j'ai là,
Ne plus me voir, dans la glace, admirer toute cette grinta,
Ma vie comme elle est là, finalement elle est pas si mal...
samedi 6 octobre 2018
Démoquoi ?
Old school 2005
Comment sortir la tête de l'eau, il pleut des cordes sur notre monde,
Démocratie est un gros mot, trop lourd pour flotter de nos jours,
La liberté fait un plongeon, hélas elle se réceptionne mal,
J'aimerais des fois pouvoir comprendre, comment on en est arrivé là !
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Comment renverser tout ça, on sait qu'on est pris pour des cons,
Moi je nvois pas de solutions, heureusement certains en ont pour nous,
Vient vite adhérer chez nous, notre intérêt est aussi le tien,
On sortira la tête de l'eau, en y enfonçant celle des autres
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Démocratie est un gros mot, qu'on est bien content d'exhiber,
Pour ne pas se diaboliser, et puis montrer...
Comment sortir la tête de l'eau, il pleut des cordes sur notre monde,
Démocratie est un gros mot, trop lourd pour flotter de nos jours,
La liberté fait un plongeon, hélas elle se réceptionne mal,
J'aimerais des fois pouvoir comprendre, comment on en est arrivé là !
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Comment renverser tout ça, on sait qu'on est pris pour des cons,
Moi je nvois pas de solutions, heureusement certains en ont pour nous,
Vient vite adhérer chez nous, notre intérêt est aussi le tien,
On sortira la tête de l'eau, en y enfonçant celle des autres
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Démocratie est un gros mot, qu'on est bien content d'exhiber,
Pour ne pas se diaboliser, et puis montrer...
vendredi 5 octobre 2018
Donne, donne, donne...
Old school 2005
Comment faire pour s'amuser ?
Ce n'est pas le but de la vie !
Alors comment s'épanouir ?
Il suffit de te réaliser !
Pour ça j'ai une solution,
Assez simple à appliquer,
Qui consiste à abandonner,
Sa liberté sa dignité
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
Comment faire pour s'évader,
On est pourtant pas prisonniers !
Alors qu'est-ce que j'essaye de dire ?
Il suffit juste de réaliser !
Pour ça j'ai quelques questions,
J'essaye un peu de comprendre,
Pourquoi les gens ne disent rien,
Et se laissent enfermer
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
Comment faire pour s'amuser ?
Ce n'est pas le but de la vie !
Alors comment s'épanouir ?
Il suffit de te réaliser !
Pour ça j'ai une solution,
Assez simple à appliquer,
Qui consiste à abandonner,
Sa liberté sa dignité
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
Comment faire pour s'évader,
On est pourtant pas prisonniers !
Alors qu'est-ce que j'essaye de dire ?
Il suffit juste de réaliser !
Pour ça j'ai quelques questions,
J'essaye un peu de comprendre,
Pourquoi les gens ne disent rien,
Et se laissent enfermer
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
jeudi 4 octobre 2018
Petite cage
Old school 2005
J'espérais me réveiller, sous un magnifique soleil
Mais je n'ai eu que le droit, à une petite clochette
Non pas celle d'une fée, plutôt celle d'un geôlier
Genre celui qui va t'aider, à bien te déraciner
Que faire pour y remédier, peut-être manifester
Comment faire pour remuer, quand on est soumis
Comme un esclave libre de le rester, jaloux de la liberté
Celle gentiment accordée, par ton gentil géolier
Je pensais un jour voler, quitter le nid les amis
La famille c'est déjà fait, les amis j'en ai trouvé
tout comme moi enfermés, dans une jolie cage dorée
Et un gentil géolier, qui te donnera à bouffer
Croquer de la liberté, et pouvoir manifester
S'affranchir de l'amitié, de ton gentil géolier
Celui qui t'a protégé, dans cette jolie cage dorée
Servitude peu naturelle, tyrannie de l'amitié
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
Petite fleur que j'ai été, rapidement emprisonnée
Flanquée de ce jardinier, garant de ma léthargie
Comment faire pour virevolter, progresser se transformer
Cadeau de la liberté, que dire de cet oisillon
Qui comme ciel ne connaîtra, que les barreaux d'une cage
Qui certainement survivra, loin de toute cette liberté
Celle de pouvoir s'envoler, s'amuser et sans pouvoir
vivre comme il aurait dû...
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
J'espérais me réveiller, sous un magnifique soleil
Mais je n'ai eu que le droit, à une petite clochette
Non pas celle d'une fée, plutôt celle d'un geôlier
Genre celui qui va t'aider, à bien te déraciner
Que faire pour y remédier, peut-être manifester
Comment faire pour remuer, quand on est soumis
Comme un esclave libre de le rester, jaloux de la liberté
Celle gentiment accordée, par ton gentil géolier
Je pensais un jour voler, quitter le nid les amis
La famille c'est déjà fait, les amis j'en ai trouvé
tout comme moi enfermés, dans une jolie cage dorée
Et un gentil géolier, qui te donnera à bouffer
Croquer de la liberté, et pouvoir manifester
S'affranchir de l'amitié, de ton gentil géolier
Celui qui t'a protégé, dans cette jolie cage dorée
Servitude peu naturelle, tyrannie de l'amitié
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
Petite fleur que j'ai été, rapidement emprisonnée
Flanquée de ce jardinier, garant de ma léthargie
Comment faire pour virevolter, progresser se transformer
Cadeau de la liberté, que dire de cet oisillon
Qui comme ciel ne connaîtra, que les barreaux d'une cage
Qui certainement survivra, loin de toute cette liberté
Celle de pouvoir s'envoler, s'amuser et sans pouvoir
vivre comme il aurait dû...
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
mercredi 3 octobre 2018
Des questions bizarres
Old school 2005
Tard, le soir, je regarde, le ciel
Je me dis, qu'il est loin, c'est pas malin !
Que se passe-t-il, sur cette étoile, que j'aperçois ?
Qui est là-bas, à me regarder, sans que je le sache ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-il, lui aussi, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Dans la nuit noire, on croise souvent, des animaux, sauvages
On a parfois peur, qu'ils nous fassent, je ne sais quoi
Que se passe-t-il, dans leur caboche, quand ils nous voient ?
Ont-ils peur, qu'on les chasse, qu'on les détuirse, comme on sait si bien le faire
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudraient-ils, eux aussi, nous faire du mal ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Au crépuscule, j'aperçois, la jeune fille, d'en face
C'est dommage, qu'elle soit si loin, un ravin
Jeune alpiniste, y grimper, ou s'envoler ?
Si je pouvais, en profiterais-je, pour aller, la voir ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-elle, si elle pouvait, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Tard, le soir, je regarde, le ciel
Je me dis, qu'il est loin, c'est pas malin !
Que se passe-t-il, sur cette étoile, que j'aperçois ?
Qui est là-bas, à me regarder, sans que je le sache ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-il, lui aussi, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Dans la nuit noire, on croise souvent, des animaux, sauvages
On a parfois peur, qu'ils nous fassent, je ne sais quoi
Que se passe-t-il, dans leur caboche, quand ils nous voient ?
Ont-ils peur, qu'on les chasse, qu'on les détuirse, comme on sait si bien le faire
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudraient-ils, eux aussi, nous faire du mal ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Au crépuscule, j'aperçois, la jeune fille, d'en face
C'est dommage, qu'elle soit si loin, un ravin
Jeune alpiniste, y grimper, ou s'envoler ?
Si je pouvais, en profiterais-je, pour aller, la voir ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-elle, si elle pouvait, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
mardi 2 octobre 2018
Prince de papier
Old school 2005
Tu es libre, moi aussi, tu ncomprend pas, moi non plus
Et pourtant, c'est pas dûr, à sentir, ces choses là,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, si ça va, fonctionner,
On est amis, jte signale, j'ai envie, d'une autre vie,
Toujours, le même refrain, je nsuis pas, le prince charmant,
Je n'ai pas, assez, de classe, je suis juste, un bon ami,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, me juger, dans tes cases,
Jte promet, jte décevrais pas, tu verras, je suis fait pour toi
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
T'es plus libre, moi non plus, je suis rentré, dans tes cases,
Et pourtant, j'en ai chié, tu m'en a fait baver,
Quel gachis,
En effet, comment ais-je fais, pour te faire, changer d'avis,
Ni motard, ni ingénieur, réussir à, voler ton coeur,
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
Tu es libre, moi aussi, tu ncomprend pas, moi non plus
Et pourtant, c'est pas dûr, à sentir, ces choses là,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, si ça va, fonctionner,
On est amis, jte signale, j'ai envie, d'une autre vie,
Toujours, le même refrain, je nsuis pas, le prince charmant,
Je n'ai pas, assez, de classe, je suis juste, un bon ami,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, me juger, dans tes cases,
Jte promet, jte décevrais pas, tu verras, je suis fait pour toi
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
T'es plus libre, moi non plus, je suis rentré, dans tes cases,
Et pourtant, j'en ai chié, tu m'en a fait baver,
Quel gachis,
En effet, comment ais-je fais, pour te faire, changer d'avis,
Ni motard, ni ingénieur, réussir à, voler ton coeur,
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
lundi 1 octobre 2018
Histoire triste
Old school 2005
Tant de fois, je suis là, et tu restes, plantée là
Je te regarde, tu ne me vois pas, histoire triste, de vivre ça...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Histoire triste, un souvenir, tu étais là, pas pour moi
Ca fait mal, ces fables là, qui m'éclipsent, de ta vie...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Pour finir, cette histoire, un peu triste, mais pas grave
Ca arrive, quelques fois, mais après, ça repart
Et c'est là, la la la, que ta vie va, s'embraser...
Regarde un peu, autour de toi, là et là, des camarades,
Comptent sur toi, car finalement, cette histoire,
Ne finit pas, pas trop mal, la la la...
Tant de fois, je suis là, et tu restes, plantée là
Je te regarde, tu ne me vois pas, histoire triste, de vivre ça...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Histoire triste, un souvenir, tu étais là, pas pour moi
Ca fait mal, ces fables là, qui m'éclipsent, de ta vie...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Pour finir, cette histoire, un peu triste, mais pas grave
Ca arrive, quelques fois, mais après, ça repart
Et c'est là, la la la, que ta vie va, s'embraser...
Regarde un peu, autour de toi, là et là, des camarades,
Comptent sur toi, car finalement, cette histoire,
Ne finit pas, pas trop mal, la la la...
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