C’est arrivé comme un gros coup de vent, une tempête qui déboule tel Dies Irae, avec le temps de s’installer.
Boulette d’énergie, incandescente et sombre à la fois, c’est crescendo qu’il s’est rapidement mais peu à peu mis en place, ce jour parfait.
C’était une sorte de yoyo magique, ensorcelé, qui n’en finissait pas de rebondir, un tic tac d’émotions.
J’imaginais foncer tout droit dedans sans airbag pour te rattraper, l’idée saugrenue que ça ne me ferait pas mal. Que ce qui ne tue pas me rendrait plus fort, plus grand, c’est vain. Je resterais petit.
Et volontairement, car sinon ce n’est pas drôle, je m’élucubre à me faire éjecter de ta vie en passant par une voie 9 3/4, puis repartir de zéro, ou 3, 2, 1, rien n’a de sens de toute façon, où en sommes-nous ?
Reculer pour mieux sauter, tomber sans s’arrêter, une chute que je ne maîtrises pas, une chute vers l’incertitude du quotidien, vers l’ennui de la vie, et c’est ainsi…va la vie…
Il s’était terminé de manière bien différente qu’il n’avait commencé, la tête dans les choux. Un mur de choux, qui dans la brume laissait présager d’un temps incertain, un temps propice aux rêveries que seuls les trolls les plus malicieux auraient pu pénétrer.
Ce jour parfait avait mis du temps à arriver, avait été bien long à se dérouler, lent d’abord, s’accélérant ensuite. Une symphonie tardant à se mettre en place mais se terminant en apothéose.
La montre n’en finissait pas de faire sienne et décider ainsi des moments fugaces de bon an malheur.
Le mur inversé s’approchait, celui vers lequel tu n’avances pas avant que le temps ne prenne enfin la fuite, comme l’eau d’une canalisation mal rebouchée. Pchiiit !
Cependant quand on sait que la chute n’est pas loin…
Savoir qu’elle ne me fera pas de bien, savoir qu’elle arrivera peut-être trop tôt, peut-être plus tard, finalement, est-ce que ça fait du bien ?
Des Poèmes sur la vie, sur l'amour, des mots de vie. Faire sortir des maux par des mots, débuter une histoire, des chansons et paroles...
vendredi 26 octobre 2018
samedi 20 octobre 2018
Le hussard
Old School 2007
J'ai cru que c'était un oiseau de mauvais augure,
Posé sur le toit, des vanités du monde,
A l'envers, qui hélas ne se retourne pas.
Feu follet qui s'amène, bleu au cœur
Je n'aurais pas cru, tu n'aurais pas dû.
Un hussard sur le toit s'envole sous cette pluie
Débordante de vice, c'est l'automne du cœur
Saisons embrouillées, est-ce l'appel du large ?
Tu n'aurais pas dû !
Le hussard s'est sauvé, échappé de cette vie,
Un hussard ou pas, cette guerre est perdue.
Je n'suis pas encore, un papillon.
Le hussard bien caché derrière les feuilles du vert-tebré
Décérébré il est devenu invisible devant ma porte
Ses yeux fermés sur ma serrure,
Cette prison dorée je veux l'éclater
Le hussard était ainsi,
L'ombre de désirs refoulés.
Un hussard sur le toit,
De merde desséchées de la vie
J'ai cru que c'était un oiseau de mauvais augure,
Posé sur le toit, des vanités du monde,
A l'envers, qui hélas ne se retourne pas.
Feu follet qui s'amène, bleu au cœur
Je n'aurais pas cru, tu n'aurais pas dû.
Un hussard sur le toit s'envole sous cette pluie
Débordante de vice, c'est l'automne du cœur
Saisons embrouillées, est-ce l'appel du large ?
Tu n'aurais pas dû !
Le hussard s'est sauvé, échappé de cette vie,
Un hussard ou pas, cette guerre est perdue.
Je n'suis pas encore, un papillon.
Le hussard bien caché derrière les feuilles du vert-tebré
Décérébré il est devenu invisible devant ma porte
Ses yeux fermés sur ma serrure,
Cette prison dorée je veux l'éclater
Le hussard était ainsi,
L'ombre de désirs refoulés.
Un hussard sur le toit,
De merde desséchées de la vie
Si l’on me demandait…
Si l’on me demandait
Ce serait pour un an
Où bien toute une vie
Et non pas pour 3 ans
Car 3 vies, impossible
Je ne suis pas un chat
Si l’on m’interrogeais
Sur ce que je souhaiterai
Y faire et bien y vivre
Ce serait différent car
Bien plus intéressant
Comme m’échapper d’une cage
Être les pieds dans la neige
Le matin au réveil
Ou les pieds sur le lac
Pourtant bien loin de la croix
Que je porte pourtant
Mes guêtres s’en approchant
Ce serait différent
Dix vies au loin pourtant
Portants espoirs et craintes
Que le réveil désiré
Sous le soleil de minuit
Soit l’aurore de ma vie
Serais-ce une chimère
D’imaginer que l’herbe
Bien que blanche et couverte
Soit plus verte que celle
Qui si près mal à l’aise
Peine sous mon pâle soleil
Mais je ne réponds plus
Fatigué de rêver
Peter va s’en aller
Sous les coups de la nuit
Aux crochets de laquelle
La cloche va tinter
(20/11/2013)
Ce serait pour un an
Où bien toute une vie
Et non pas pour 3 ans
Car 3 vies, impossible
Je ne suis pas un chat
Si l’on m’interrogeais
Sur ce que je souhaiterai
Y faire et bien y vivre
Ce serait différent car
Bien plus intéressant
Comme m’échapper d’une cage
Être les pieds dans la neige
Le matin au réveil
Ou les pieds sur le lac
Pourtant bien loin de la croix
Que je porte pourtant
Mes guêtres s’en approchant
Ce serait différent
Dix vies au loin pourtant
Portants espoirs et craintes
Que le réveil désiré
Sous le soleil de minuit
Soit l’aurore de ma vie
Serais-ce une chimère
D’imaginer que l’herbe
Bien que blanche et couverte
Soit plus verte que celle
Qui si près mal à l’aise
Peine sous mon pâle soleil
Mais je ne réponds plus
Fatigué de rêver
Peter va s’en aller
Sous les coups de la nuit
Aux crochets de laquelle
La cloche va tinter
(20/11/2013)
vendredi 19 octobre 2018
Je n'sais plus aimer
Old School 2007
Fini le temps, de l'amour,
Fini le temps, de la confiance,
Conscience de ce leurre, décelé, mais quand est-ce ?
Une vie, un rêve, une utopie,
Nous ne vieillirons pas ensemble
Nous ne vieillirons, plus ensemble
Sa vie est une prière,
La vie des autres, une bagatelle,
Pantin de chair, humain usé, les raisons de la colère,
Déraison fruit du hasard,
Décelé, mais quand est-ce ?
Nous ne vieillirons hélas plus ensemble
Aimer, c'était l'utopie de croire compter
Qu'un être autre au bout du fil de la vie
Te tiens à bout de bras
Tentation d'éviter l'envie,
Les neuf vices pêchés du félin
Qui sera celle qui ? Mais quand est-ce ?
Qui saura tel un I Con Ga me réveiller ?
Je nsais plus aimer, jouer avec les maux des autres,
Je nsais plus c'est un mal, je nsais plus est-ce un bien...
J'ai perdu mes feuilles, chêne d'hiver, chaînes brisées,
Verrou cassé floraison hâtive, divers, mais quand est-ce ?
Ce rêve utopique d'avoir pensé vieillir ensemble
Laissé sur le côté du chemin de cette vie
Bord de coûte que coûte relancer le Zeppelin,
Viser juste, la petite lumière
Je nsais plus, pourquoi pas
Qu'est-ce et quand est-ce que non tu ndois pas
Tu ne peux plus avec moi vieillir,
Je ne sais je ne peux je ne sais je ne peux plus aimer
Nous ne vieillirons hélas, plus ensemble...
Fini le temps, de l'amour,
Fini le temps, de la confiance,
Conscience de ce leurre, décelé, mais quand est-ce ?
Une vie, un rêve, une utopie,
Nous ne vieillirons pas ensemble
Nous ne vieillirons, plus ensemble
Sa vie est une prière,
La vie des autres, une bagatelle,
Pantin de chair, humain usé, les raisons de la colère,
Déraison fruit du hasard,
Décelé, mais quand est-ce ?
Nous ne vieillirons hélas plus ensemble
Aimer, c'était l'utopie de croire compter
Qu'un être autre au bout du fil de la vie
Te tiens à bout de bras
Tentation d'éviter l'envie,
Les neuf vices pêchés du félin
Qui sera celle qui ? Mais quand est-ce ?
Qui saura tel un I Con Ga me réveiller ?
Je nsais plus aimer, jouer avec les maux des autres,
Je nsais plus c'est un mal, je nsais plus est-ce un bien...
J'ai perdu mes feuilles, chêne d'hiver, chaînes brisées,
Verrou cassé floraison hâtive, divers, mais quand est-ce ?
Ce rêve utopique d'avoir pensé vieillir ensemble
Laissé sur le côté du chemin de cette vie
Bord de coûte que coûte relancer le Zeppelin,
Viser juste, la petite lumière
Je nsais plus, pourquoi pas
Qu'est-ce et quand est-ce que non tu ndois pas
Tu ne peux plus avec moi vieillir,
Je ne sais je ne peux je ne sais je ne peux plus aimer
Nous ne vieillirons hélas, plus ensemble...
mardi 16 octobre 2018
Contre courant
Ols school 2007
A contre courant de tes pensées
J'aurais bien aimé ne pas vivre autant
Ne pas m'arrêter sur ce quai désert
Qui m'incommode tant
Je n'ai même pas pu y vivre un printemps
Le temps que les oeufs du ciel ne puissent se casser
Neuf ou vieux moi en tout cas, je ne suis plus là
Neuf mois ont suffit pour accoucher d'une vie
Hélas pas choisie, retour en arrière, à zéro repartir
Personne n'a pigé ta réalité, ma fatalité
Ce n'est hélas que ça la vie,
Des parts de rien, partir de tout,
Ne pas se retourner, c'est ça qu'il faut quitter
lundi 15 octobre 2018
La Dame Blanche
Old School 2007
La Dame Blanche a fondue pour des cornes
Désert amer, dune isolée, addition trop lourde
La Dame Blanche n'est jamais arrivée
A destination, trop de chaud comme là
Hypocrite blanche femme du bord de ma route
Étais-tu vraie étais-tu fausse ?
En coulant tu m'as brisée de mon chemin
Nœud de lumière diffuse, coupe opaque brisée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
La Dame Blanche était un leurre
Le dessert parfait à fondu
Croqué par ce beau zébut de l'être
En chaleur, la Dame Blanche n'a jamais existée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
La Dame Blanche a fondue pour des cornes
Désert amer, dune isolée, addition trop lourde
La Dame Blanche n'est jamais arrivée
A destination, trop de chaud comme là
Hypocrite blanche femme du bord de ma route
Étais-tu vraie étais-tu fausse ?
En coulant tu m'as brisée de mon chemin
Nœud de lumière diffuse, coupe opaque brisée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
La Dame Blanche était un leurre
Le dessert parfait à fondu
Croqué par ce beau zébut de l'être
En chaleur, la Dame Blanche n'a jamais existée
Cette chaleur qui dégueule de sa bouche
Était-elle vraie, était-elle fausse
Était-elle vraie, était-elle fausse
La Dame Blanche était ainsi
Où est la chaleur dans la bichromie du temps qui passe sans s'arrêter
La recette originale pèse bien peu dans le met dénaturé voué
A s'éclipser erzatsé il avait aimé
lundi 8 octobre 2018
L'âmanité
Old school 2005
Comment faire, pour rêver, sans ce monde, si affligeant
Où tout s'écroule, pas que les tours, où la bonté, est un pêché
Heureusement, que Dieu est là, il nous guide, nous parasite,
Ce vieux gars là, au dessus des lois, n'est qu'une défaite, et un prétexte
Pour se doter d'âmanité
Comment faire, pour bifurquer, de cette vie, si avariée
La pourriture, est consommée, la charitée, s'en est allée
Démissionnée, et remplacée, par de gentils, spadassins,
Balancés, en plein conflit, future défaite, comment faire,
Pour se doter d'âmanité ?
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
Comment faire, pour s'épargner, de toute cette merde, qui nous entoure,
Y'en a qui choisissent, une milice, d'autres préfèrent le missionnaire,
Divinité, maréchaussée, d'où est-ce que ça vient, je n'en sais rien
Tout cque je sais, c'est que ce bordel, est une défaite, et qu'il faudrait
Se doter d'âmanité !
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
Comment faire, pour rêver, sans ce monde, si affligeant
Où tout s'écroule, pas que les tours, où la bonté, est un pêché
Heureusement, que Dieu est là, il nous guide, nous parasite,
Ce vieux gars là, au dessus des lois, n'est qu'une défaite, et un prétexte
Pour se doter d'âmanité
Comment faire, pour bifurquer, de cette vie, si avariée
La pourriture, est consommée, la charitée, s'en est allée
Démissionnée, et remplacée, par de gentils, spadassins,
Balancés, en plein conflit, future défaite, comment faire,
Pour se doter d'âmanité ?
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
Comment faire, pour s'épargner, de toute cette merde, qui nous entoure,
Y'en a qui choisissent, une milice, d'autres préfèrent le missionnaire,
Divinité, maréchaussée, d'où est-ce que ça vient, je n'en sais rien
Tout cque je sais, c'est que ce bordel, est une défaite, et qu'il faudrait
Se doter d'âmanité !
L'humanité, s'est-elle, violée
Et l'âme, qu'en dire ?
Juste se doter d'âmanité...
dimanche 7 octobre 2018
J'aimerais pouvoir...
Old school 2005
J'ai tant envie de voir, ce qu'il a dans sa tête là,
Je ferais n'importe quoi, pour pouvoir tout savoir,
Est-ce de la curiosité, ou de la morosité ?
Pouvoir changer de vie, échanger avec autrui,
Quitter tous ces soucis, ceux de la vie,
Un nouveau destin, impossible c'est certain.
J'aimerais une nouvelle maison, un métier, une autre façon,
De nouer mes vestons, et chanter ces chansons,
La glace serait différente, j'aurais une nouvelle famille,
Im po ssible, c'est certain,
Et pour tant, ce srait bien,
De pou voir, connaître tout ça !
J'aimerais tant pouvoir voir, la vie de ce côté là,
Les objets que je connais, sont-ils tous pareils ?
Odeurs, sons et puis touchés, ont-ils la même volupté ?
Je ferais des tas de choses, interdites dans ma vie,
Aucun risque de pleurer, car ce nsrait pas la mienne,
Jpourrais faire toutes les conneries, lui pourrrir sa vie à lui...
Im po ssible, c'est cré tin,
De vou loir, faire tout ça,
et pourtant, j'aimerais ça
Finalement je n'aimerais pas, perdre tout ce que j'ai là,
Ne plus me voir, dans la glace, admirer toute cette grinta,
Ma vie comme elle est là, finalement elle est pas si mal...
J'ai tant envie de voir, ce qu'il a dans sa tête là,
Je ferais n'importe quoi, pour pouvoir tout savoir,
Est-ce de la curiosité, ou de la morosité ?
Pouvoir changer de vie, échanger avec autrui,
Quitter tous ces soucis, ceux de la vie,
Un nouveau destin, impossible c'est certain.
J'aimerais une nouvelle maison, un métier, une autre façon,
De nouer mes vestons, et chanter ces chansons,
La glace serait différente, j'aurais une nouvelle famille,
Im po ssible, c'est certain,
Et pour tant, ce srait bien,
De pou voir, connaître tout ça !
J'aimerais tant pouvoir voir, la vie de ce côté là,
Les objets que je connais, sont-ils tous pareils ?
Odeurs, sons et puis touchés, ont-ils la même volupté ?
Je ferais des tas de choses, interdites dans ma vie,
Aucun risque de pleurer, car ce nsrait pas la mienne,
Jpourrais faire toutes les conneries, lui pourrrir sa vie à lui...
Im po ssible, c'est cré tin,
De vou loir, faire tout ça,
et pourtant, j'aimerais ça
Finalement je n'aimerais pas, perdre tout ce que j'ai là,
Ne plus me voir, dans la glace, admirer toute cette grinta,
Ma vie comme elle est là, finalement elle est pas si mal...
samedi 6 octobre 2018
Démoquoi ?
Old school 2005
Comment sortir la tête de l'eau, il pleut des cordes sur notre monde,
Démocratie est un gros mot, trop lourd pour flotter de nos jours,
La liberté fait un plongeon, hélas elle se réceptionne mal,
J'aimerais des fois pouvoir comprendre, comment on en est arrivé là !
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Comment renverser tout ça, on sait qu'on est pris pour des cons,
Moi je nvois pas de solutions, heureusement certains en ont pour nous,
Vient vite adhérer chez nous, notre intérêt est aussi le tien,
On sortira la tête de l'eau, en y enfonçant celle des autres
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Démocratie est un gros mot, qu'on est bien content d'exhiber,
Pour ne pas se diaboliser, et puis montrer...
Comment sortir la tête de l'eau, il pleut des cordes sur notre monde,
Démocratie est un gros mot, trop lourd pour flotter de nos jours,
La liberté fait un plongeon, hélas elle se réceptionne mal,
J'aimerais des fois pouvoir comprendre, comment on en est arrivé là !
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Comment renverser tout ça, on sait qu'on est pris pour des cons,
Moi je nvois pas de solutions, heureusement certains en ont pour nous,
Vient vite adhérer chez nous, notre intérêt est aussi le tien,
On sortira la tête de l'eau, en y enfonçant celle des autres
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Regarde un peu autour de toi, si tu y arrives ne pleure pas,
On est dans une prison dorée, ou personne ne détient la clef
Démocratie est un gros mot, qu'on est bien content d'exhiber,
Pour ne pas se diaboliser, et puis montrer...
vendredi 5 octobre 2018
Donne, donne, donne...
Old school 2005
Comment faire pour s'amuser ?
Ce n'est pas le but de la vie !
Alors comment s'épanouir ?
Il suffit de te réaliser !
Pour ça j'ai une solution,
Assez simple à appliquer,
Qui consiste à abandonner,
Sa liberté sa dignité
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
Comment faire pour s'évader,
On est pourtant pas prisonniers !
Alors qu'est-ce que j'essaye de dire ?
Il suffit juste de réaliser !
Pour ça j'ai quelques questions,
J'essaye un peu de comprendre,
Pourquoi les gens ne disent rien,
Et se laissent enfermer
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
Comment faire pour s'amuser ?
Ce n'est pas le but de la vie !
Alors comment s'épanouir ?
Il suffit de te réaliser !
Pour ça j'ai une solution,
Assez simple à appliquer,
Qui consiste à abandonner,
Sa liberté sa dignité
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
Comment faire pour s'évader,
On est pourtant pas prisonniers !
Alors qu'est-ce que j'essaye de dire ?
Il suffit juste de réaliser !
Pour ça j'ai quelques questions,
J'essaye un peu de comprendre,
Pourquoi les gens ne disent rien,
Et se laissent enfermer
C'est quand même pas compliqué,
On tdemande juste de donner,
Un peu de ta liberté !
jeudi 4 octobre 2018
Petite cage
Old school 2005
J'espérais me réveiller, sous un magnifique soleil
Mais je n'ai eu que le droit, à une petite clochette
Non pas celle d'une fée, plutôt celle d'un geôlier
Genre celui qui va t'aider, à bien te déraciner
Que faire pour y remédier, peut-être manifester
Comment faire pour remuer, quand on est soumis
Comme un esclave libre de le rester, jaloux de la liberté
Celle gentiment accordée, par ton gentil géolier
Je pensais un jour voler, quitter le nid les amis
La famille c'est déjà fait, les amis j'en ai trouvé
tout comme moi enfermés, dans une jolie cage dorée
Et un gentil géolier, qui te donnera à bouffer
Croquer de la liberté, et pouvoir manifester
S'affranchir de l'amitié, de ton gentil géolier
Celui qui t'a protégé, dans cette jolie cage dorée
Servitude peu naturelle, tyrannie de l'amitié
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
Petite fleur que j'ai été, rapidement emprisonnée
Flanquée de ce jardinier, garant de ma léthargie
Comment faire pour virevolter, progresser se transformer
Cadeau de la liberté, que dire de cet oisillon
Qui comme ciel ne connaîtra, que les barreaux d'une cage
Qui certainement survivra, loin de toute cette liberté
Celle de pouvoir s'envoler, s'amuser et sans pouvoir
vivre comme il aurait dû...
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
J'espérais me réveiller, sous un magnifique soleil
Mais je n'ai eu que le droit, à une petite clochette
Non pas celle d'une fée, plutôt celle d'un geôlier
Genre celui qui va t'aider, à bien te déraciner
Que faire pour y remédier, peut-être manifester
Comment faire pour remuer, quand on est soumis
Comme un esclave libre de le rester, jaloux de la liberté
Celle gentiment accordée, par ton gentil géolier
Je pensais un jour voler, quitter le nid les amis
La famille c'est déjà fait, les amis j'en ai trouvé
tout comme moi enfermés, dans une jolie cage dorée
Et un gentil géolier, qui te donnera à bouffer
Croquer de la liberté, et pouvoir manifester
S'affranchir de l'amitié, de ton gentil géolier
Celui qui t'a protégé, dans cette jolie cage dorée
Servitude peu naturelle, tyrannie de l'amitié
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
Petite fleur que j'ai été, rapidement emprisonnée
Flanquée de ce jardinier, garant de ma léthargie
Comment faire pour virevolter, progresser se transformer
Cadeau de la liberté, que dire de cet oisillon
Qui comme ciel ne connaîtra, que les barreaux d'une cage
Qui certainement survivra, loin de toute cette liberté
Celle de pouvoir s'envoler, s'amuser et sans pouvoir
vivre comme il aurait dû...
La vie c'est pas compliqué, faut savoir se conformer
Sacrifier sa liberté, s'incliner se diriger
Dans l'enceinte d'honnêteté, d'éthique mais sans liberté
Cloison de moralité, imposée et condamnée
Sourd à cette curieuse franchise, désinvolture naturelle
Barricadée dans ton misérable petit confort
Celui qui t'apporte la richesse et puis la quiétude
Et ainsi de ne pouvoir te mettre dans l'embarras...
mercredi 3 octobre 2018
Des questions bizarres
Old school 2005
Tard, le soir, je regarde, le ciel
Je me dis, qu'il est loin, c'est pas malin !
Que se passe-t-il, sur cette étoile, que j'aperçois ?
Qui est là-bas, à me regarder, sans que je le sache ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-il, lui aussi, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Dans la nuit noire, on croise souvent, des animaux, sauvages
On a parfois peur, qu'ils nous fassent, je ne sais quoi
Que se passe-t-il, dans leur caboche, quand ils nous voient ?
Ont-ils peur, qu'on les chasse, qu'on les détuirse, comme on sait si bien le faire
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudraient-ils, eux aussi, nous faire du mal ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Au crépuscule, j'aperçois, la jeune fille, d'en face
C'est dommage, qu'elle soit si loin, un ravin
Jeune alpiniste, y grimper, ou s'envoler ?
Si je pouvais, en profiterais-je, pour aller, la voir ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-elle, si elle pouvait, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Tard, le soir, je regarde, le ciel
Je me dis, qu'il est loin, c'est pas malin !
Que se passe-t-il, sur cette étoile, que j'aperçois ?
Qui est là-bas, à me regarder, sans que je le sache ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-il, lui aussi, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Dans la nuit noire, on croise souvent, des animaux, sauvages
On a parfois peur, qu'ils nous fassent, je ne sais quoi
Que se passe-t-il, dans leur caboche, quand ils nous voient ?
Ont-ils peur, qu'on les chasse, qu'on les détuirse, comme on sait si bien le faire
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudraient-ils, eux aussi, nous faire du mal ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
Au crépuscule, j'aperçois, la jeune fille, d'en face
C'est dommage, qu'elle soit si loin, un ravin
Jeune alpiniste, y grimper, ou s'envoler ?
Si je pouvais, en profiterais-je, pour aller, la voir ?
La chance, que ça arrive, est-elle là ?
Voudrait-elle, si elle pouvait, me rencontrer ?
Des fois, je me pose, vraiment, des questions, bizarres, des questions étranges,
Mais qui me font, rêver...
mardi 2 octobre 2018
Prince de papier
Old school 2005
Tu es libre, moi aussi, tu ncomprend pas, moi non plus
Et pourtant, c'est pas dûr, à sentir, ces choses là,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, si ça va, fonctionner,
On est amis, jte signale, j'ai envie, d'une autre vie,
Toujours, le même refrain, je nsuis pas, le prince charmant,
Je n'ai pas, assez, de classe, je suis juste, un bon ami,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, me juger, dans tes cases,
Jte promet, jte décevrais pas, tu verras, je suis fait pour toi
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
T'es plus libre, moi non plus, je suis rentré, dans tes cases,
Et pourtant, j'en ai chié, tu m'en a fait baver,
Quel gachis,
En effet, comment ais-je fais, pour te faire, changer d'avis,
Ni motard, ni ingénieur, réussir à, voler ton coeur,
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
Tu es libre, moi aussi, tu ncomprend pas, moi non plus
Et pourtant, c'est pas dûr, à sentir, ces choses là,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, si ça va, fonctionner,
On est amis, jte signale, j'ai envie, d'une autre vie,
Toujours, le même refrain, je nsuis pas, le prince charmant,
Je n'ai pas, assez, de classe, je suis juste, un bon ami,
Quel gachis,
En effet, comment savoir, me juger, dans tes cases,
Jte promet, jte décevrais pas, tu verras, je suis fait pour toi
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
T'es plus libre, moi non plus, je suis rentré, dans tes cases,
Et pourtant, j'en ai chié, tu m'en a fait baver,
Quel gachis,
En effet, comment ais-je fais, pour te faire, changer d'avis,
Ni motard, ni ingénieur, réussir à, voler ton coeur,
Un an après, tu te rappelles de ça,
Ta liste de critères et tout ce tralala,
Finalement tu vois, t'a eu raison,
De m'écouter, d'appliquer mes leçons.
Je suis peut-être pas ton prince sur le papier,
Amis on peut pas aller plus loin que ça,
Tout tes préjugés s'en sont allés,
L'évidence a finalement fait son chemin
lundi 1 octobre 2018
Histoire triste
Old school 2005
Tant de fois, je suis là, et tu restes, plantée là
Je te regarde, tu ne me vois pas, histoire triste, de vivre ça...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Histoire triste, un souvenir, tu étais là, pas pour moi
Ca fait mal, ces fables là, qui m'éclipsent, de ta vie...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Pour finir, cette histoire, un peu triste, mais pas grave
Ca arrive, quelques fois, mais après, ça repart
Et c'est là, la la la, que ta vie va, s'embraser...
Regarde un peu, autour de toi, là et là, des camarades,
Comptent sur toi, car finalement, cette histoire,
Ne finit pas, pas trop mal, la la la...
Tant de fois, je suis là, et tu restes, plantée là
Je te regarde, tu ne me vois pas, histoire triste, de vivre ça...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Histoire triste, un souvenir, tu étais là, pas pour moi
Ca fait mal, ces fables là, qui m'éclipsent, de ta vie...
Trop de personnes, ne sont pas, là pour toi, mais pour elles
Egoïstes, superficielles, tu te demandes, ce que tu fous
Pour finir, cette histoire, un peu triste, mais pas grave
Ca arrive, quelques fois, mais après, ça repart
Et c'est là, la la la, que ta vie va, s'embraser...
Regarde un peu, autour de toi, là et là, des camarades,
Comptent sur toi, car finalement, cette histoire,
Ne finit pas, pas trop mal, la la la...
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